De Richard Nixon en 1960 à Hillary Clinton en 2016, tous les candidats, qu’ils soient démocrates ou républicains, qu’ils soient simples candidats ou présidents en exercice, tous, y compris le très radical Barry Goldwater, ont admis leur défaite et féliciter leur opposant. Tous sauf un.
La raison ? Instabilité mentale qui semble dépasser le cadre de la fameuse Goldwater rule selon laquelle aucun psychiatre ne prononcerait un avis sur une quelconque personne s’ils n’ont pu l’examiner. Avec une exposition aussi flagrante via le petit écran, un tel examen n’est peut-être pas nécessaire.