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Tag: républicains

No more tax… cut !

D’où les leaders républicains tiennent-ils cette idée fixe qui leur sert d’Alpha et d’Omega selon laquelle la seule voie possible est de réduire les dépenses publiques et ne pas augmenter les taxes, voire les réduire ? A l’occasion de la campagne, les 8 candidats en liste n’arrêtent pas de la répéter espérant que la bonne vieille…

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Que faire de Sarah Palin ?

A ce jour, sept candidats se sont déclarés pour participer pour les primaires républicaines, à savoir par ordre des résultats aux derniers sondages : Rick Perry, Mitt Rommey, Ron Paul, Michele Bachmann, Herman Cain, Newt Gingrich, Rick Santorum, Jon Huntsman, Tim Pawlenty. Sachant que ce dernier a déjà jeté l’éponge. En revanche, il y a encore des « vedettes » qui ne se sont pas encore déclarées parmi lesquelles  Rudy Giuliani, l’ancien maire de New-York et Sarah Palin, une des égéries du Tea Party. Mais celle qui s’était surnommée Mama Grizzly semble s’être fait voler la vedette par d’autres, Michele Bachmann notamment. Quoi qu’il en soit, un récent sondage organisé par Fox News indique que 71% des républicains préfèrerait qu’elle ne se présente pas. A 80 %, la proportion des démocrates est un peu plus élevée. Même les Américains qui se déclarent appartenant au mouvement du Tea Party sont 66 % à préférer aussi cette hypothèse. [youtube=http://www.youtube.com/watch?v=69jbn9yb9nc]

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Rendre à César…. C’est la faute à George W. Bush !

Certes la popularité de Barack Obama est au plus bas et l’argument selon lequel la situation aurait pu être bien pire si certaines mesures n’avaient pas été prises n’est pas très vendeur. Mais cela ne change pas l’appréciation qu’ont les Américains ont sur son prédécesseur dont une majorité le tien pour principal responsable des problèmes économiques actuels. Selon une enquête réalisée par AP/Roper/GfK, 51 % des Américains pensent que George W. Bush porte la plus grande part de responsabilité de la situation économique actuelle, 44 % l’attribuent aux républicains du Congrès, 36 % aux démocrates du Congres et seulement 31 % à Barack Obama.

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La cote de Barack Obama au plus bas

Après avoir connu un certain regain à la suite de l’opération Geronimo qui avait conduit à la mort de Oussama ben Laden, la cote de Barack Obama n’en finit pas de baisser. A 50 % d’approbation, les Américains ne sont pas plus que 40% selon les derniers chiffres de l’institut Gallup (1), l’étiage le plus bas qu’ait connu le 44e président des Etats-Unis. L’autre point intéressant concerne les niveaux d’appréciation selon les groupes raciaux. L’appartenance à un groupe racial - Noirs, Hispaniques et Blancs - est un facteur clairement discriminant pour expliquer le niveau d’approbation. L’Amérique n’est pas une société post-raciale comme on avait pu le penser, notamment après l’élection du premier président Noir. Les chiffres d’approbation de Barack Obama sont éloquents : 83 % chez les Noirs, 44 % chez les Hispaniques et 32 % chez les Blancs. A noter que la baisse la plus importante s’observe chez les Hispaniques. Il faut mentionner aussi que l’institut Gallup dans ce type de sondage ne s’intéresse pas à la communauté asiatique.

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Election2012 Rick Perry nouveau champion des Républicains

Alors que Mitt Romney semblait se dégager comme le leader des candidats républicains pour les élections 2012, Rick Perry, qui avait déjà fait une percée significative, est donc propulsé comme le nouveau champion du GOP dans les derniers sondages. Sachant que dans la liste des 8 prétendants actuels, Tim Pawlenty a déjà jeté l’éponge et il est vraisemblable qu’il sera rapidement suivi par d’autres qui réaliseront  que leurs chances d’être choisis comme le prétendant des Républicains pour l’élection de 2012 sont quasi nulles. En revanche, il y a encore des « vedettes » qui ne se sont pas encore déclarées parmi lesquelles Sarah Palin, l’égérie du Tea Party, et Rudy Giuliani, l’ancien maire de New-York.

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Debt Ceiling : une bataille politique, un problème économique, des conséquences sociales

La notion même de debt ceiling (plafond de la dette qui n’est pas un « plafond de verre » !) a vu le jour en septembre 1917. A cette époque le Congrès avait accordé un plafond de 11,5 millions de dollars de l’époque représentant environ 193 milliards exprimés en dollars de 2011. Cette mesure a été prise au moment où les Américains s’engageaient dans la première guerre mondiale. Au 29 juin 2011, la dette américaine a atteint le niveau astronomique de 14 460 milliards de dollars équivalant à 98,6 % du PIB calendaire 2010. Selon le FMI, cela place les Etats-Unis au 12e rang dans le monde. Ce niveau est surtout légèrement supérieur au plafond de la dette autorisé par le Congrès. D’où les âpres négociations de ces dernières semaines entre le président Obama et les républicains du congrès pour aboutir à un compromis et autoriser de relever le plafond de la dette afin que le gouvernement américain puisse honorer ses paiements et ne pas faire défaut.  Une situation qui ne s’est jamais vu et qui pour le moins aurait placé les Etats-Unis dans une situation très délicate et aurait pu déclencher une crise de même amplitude que celle provoquée par la faillite de la banque d’investissement Lehman Brothers.

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Elections midterm à haut risque

Barack Obama s’est impliqué tardivement dans les élections de novembre prochain mais cela suffira-t-il à apporter le correctif nécessaire pour que les démocrates ne subissent une déroute ?  En fait, on assiste à une sorte de dédoublement de la personnalité du corps électoral. D’un côté, il exprime un mécontentement fort et vigoureux sur la situation en général,…

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