Dans le volumineux document de 674 pages du plan de relance qui a été voté par la Chambre des Représentants et qui est examiné cette semaine par le Sénat, se retrouve l'idée du « Buy American ». La crise réveille les vieux démons du protectionnisme auxquels les Etats-Unis ont été souvent ouverts.
D'abord les faits. Dans les investissements…