On se souvient que Barack Obama avait répété pendant sa campagne qu'il était prêt à parler à Mahmoud Ahmadinejad, ce qui lui a valu à l'époque de nombreuses critiques, en particulier des Républicains qui y voyaient une preuve de son manque de caractère et de fermeté nécessaire pour traiter ce complexe problème. Il est vrai que si l'on ne devait parler qu'à nos amis, cela limiterait les conversations. Ce qui ne l'avait pas empêché de noter tous les points sur lesquels l'Iran pose un réel problème, entre autres le financement du terrorisme, l'hostilité radicale avec Israël et la poursuite du développement de l'arme nucléaire.