L’œuvre d’Hopper est directement accessible à tous exprimant une sorte de simplicité qui s’impose à nous. Le peintre américain nous donne presque l’impression que nous en aurions en faire autant. Cette simplicité extrême et dépouillée cache-t-elle un grand peintre ou un illustrateur, fut-il excellent (qu’il fut d’ailleurs) qui se rapprocherait plus d’Hergé que de Rembrandt…
Exposition présentée au Grand Palais du 10 octobre 2012 au 28 janvier 2013 Les peintures d’Edward Hopper ont la simplicité trompeuse des mythes, l’évidence des images d’Epinal. Chacune d’elles est un condensé des savoirs hypothétiques, des rêves que nous inspire l’Amérique. Expression des sentiments les plus poignants, ou pures constructions…
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