Contrairement à George W. Bush qui n’a pas hésité à faire un mensonge d’état pour vendre une intervention militaire en Irak, Barack Obama a préféré passer par le Congrès pour engager des frappes sur la Syrie pour « punir » l’ignoble Bachar al-Assad. Les atermoiements d’aujourd’hui ne sont sans doute pas étrangers aux manipulations d’hier de d’administration…