Dans un billet récent (The Endorsement Primary), Nate Silver fait le point sur les soutiens des représentants, des sénateurs et des gouverneurs dont bénéficient les différents candidats. Tous les soutiens ne sont pas égaux, d’abord parce que les élus sont plus nombreux que d’autres et surtout qu’ils n’ont pas le même poids politique (Pour mémoire,…
Après l’annonce de Joe Biden indiquant qu’il ne se lançait finalement pas dans la course et les départs de Jim Webb et de Lincoln Chafee, il ne reste donc plus que 4 candidats, trois qui ont participé au premier débat et un quatrième, Lawrence Lessig qui entend utiliser la campagne présidentielle pour faire entendre sa…
Ce ne fut pas une grande surprise. Hillary Clinton est donc candidate à l’élection présidentielle américaine de 2016 et participera donc aux primaires côté démocrate. Et devrait ne pas avoir trop de difficultés pour être élue. La seule incertitude pour l’heure est de savoir qui sera son (sa) colistier. Ce n’est pas la première femme…
Il ne sera pas peut-être pas élu mais il restera le premier candidat de la campagne présidentielle 2016, démocrates et républicains confondus.
Elu sénateur du Texas en 2012, Ted Cruz est connu pour être capable de faire des discours sans note. Il s’est en particulier fait remarquer en délivrant le 4e filibuster de l’histoire, 21 heures…
L’argent a corrompu la démocratie. Partant de cette constatation, Larry Lessig, professeur de croit à Harvard, spécialiste du droit constitutionnel mais aussi de la propriété intellectuelle, s’est lancé dans ce combat, plutôt cette croisade, en espérant influer sur les prochaines élections de 2016.
96 % des Américains pensent que la situation du Congrès est inacceptable et…
Alors que personne n’a encore annoncé sa candidature dans les deux camps, les sondages nous donnent les premières images des positions des candidats putatifs. Malgré les petits soucis qu’elle a actuellement sur l’utilisation d’une messagerie électronique commerciale lorsqu’elle était Secrétaire d’Etat, Hillary Clinton est la favorite devant Joe Biden, l’actuel Vice-Président. Parmi les faiblesses théoriques…
On dit souvent que les élections du président des Etats-Unis sont compliquées. Petit rappel. Ce sont des élections indirectes qui se gagnent état par état. Pour être élu le 6 novembre 2012 dernier, le candidat devait recueillir la majorité des voix des 538 grands électeurs, soit 270 voix (Le nombre de 538 grands électeurs correspond au nombre des sénateurs (100) et des membres de la Chambre des représentants (438). Ils sont répartis entre les 50 États en fonction de leur population. Le calcul est renouvelé tous les dix ans à l’issue du recensement). Certains États votent toujours républicains, d’autres sont toujours acquis aux démocrates. Une dizaine d’États appelés swing states (ou bien battleground states, voire purple states) sont plus fluctuants : ils votent parfois républicain, parfois démocrate.
Quinze jours avant l’élection de 2012, selon les prévisions du New York Times, Barack Obama avait une quasi-certitude de recueillir 237 voix contre 206 pour Mitt Romney. Il restait la dizaine des États indécis représentant 95 voix de grands électeurs, dont celles de l’Ohio. Et dans chaque état, il y a des régions qui sont bleus ou rouges et d’autres également fluctuantes. Ce qui fait que les candidats portent tous leurs efforts sur les zones indéterminés des etats indéterminés. Ce qui n’empêche des actions des partis à plus long long terme pour faire basculer un Etat. Par exemple, le Texas qui est très fortement républicain pourrait, à terme, avec la montée en puissance des hispaniques, devenir démocrate.
En termes de complexité Les élections municipales parisiennes n’ont rien à envier aux élections du président des Etats-Unis. Ce sont également des élections indirectes qui se gagnent arrondissement par arrondissement. Depuis la loi du 31 décembre 1982 relative à l’organisation administrative de Paris, Marseille, Lyon (loi PML), ces villes disposent d’un scrutin particulier pour les élections municipales. L’élection se fait par secteurs constitués chacun d’un arrondissement à Paris et à Lyon et de deux arrondissements à Marseille.
La formule est-elle rapide et simplificatrice ? Pas tant que ça si l’on en croit la dernière enquête de l’institut Gallup qui donne le sentiment partagés sur l’importance pour les États-Unis d’être la première puissance militaire du monde. Près de 2 Américains sur 3 pensent que c’est important et ce sentiment a été assez largement partagé depuis une vingtaine d’années. Le pic a été atteint en 2001 avec 70 %, juste après les événements de septembre 2001.
Mais il n’est pas partagé de manière égale chez les républicains et les démocrates. Ils sont 80 % chez les premiers contre seulement 48 % pour les seconds.
Ce n’est pas la valse à trois temps, mais l’inauguration à deux temps : un serment prêté en privé à la maison Blanche hier et aujourd’hui devant le Capitole et 800 000 Américains. La raison ? Tout simplement parce que le 20 janvier est tombé un dimanche. C’est la septième fois qu’un tel événement intervient. La première fois que cet événement est arrivé, James Monroe a consulté la Cour Suprême qui a convenu d’organiser la cérémonie le lendemain.