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Général

Etat protecteur ou état oppresseur ?

Le rôle et le pouvoir du gouvernement sont deux éléments fortement discriminants entre les républicains et les démocrates. Les derniers sondages réalisés par l’institut Gallup le démontrent une nouvelle foi. Cette ligne de partage est encore plus importante aujourd’hui étant l’intervention relativement active de l’équipe Obama depuis son entrée en fonction et ce en raison…

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Weekly address : 2 octobre 2010 L’emploi et l’énergie propre

L’emploi grâce à l’énergie propre tel est le thème abordé par Barack Obama. Rien de très surprenant car l’économie et l’emploi sont, et de très loin, les deux principaux sujets de préoccupations des Américains. C’est ce qu’indique un sondage réalisé par l’institut Gallup à la mi-septembre. Et le haut niveau de chômage (9,6 % selon les chiffres officiels qui ne tient pas compte des gens qui sont rationnés et travaillent à temps partiel et aussi ceux qui ne sont même plus sur les listes de demandeurs d’emplois) est une des principales causes de la faible popularité de Barack Obama.

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Tea party : petit détour historique

C’est une intéressante présentation historique du mouvement des Tea Party qu’a faite André Kaspy (Conservateurs et ultra droite aux Etats-Unis, du temps de l'indépendance au mouvement Tea Party) qu’on ne présente plus et qui a produit de nombreux livres sur les Etats-Unis. Toutefois, le principe de l’émission de Concordance des Temps n’a pas été vraiment respecté. Il a beaucoup été question d’histoire, des antécédents, de l’ultradroite qui a précédé ce mouvement des Tea Party, formidable coup de marketing, y compris même jusque dans son appellation qui donne l’image d’un mouvement révolutionnaire alors qu’il est beaucoup plus populaire et réactionnaire ; Avec en toile de fond une nostalgie d’un passé vers lequel il est totalement stupide de vouloir retourner tant les conditions sont différentes. Et des références permanentes sur la Constitution que les partisants des mouvements du Tea Party lisent comme les temoins de Jéohovah lisent la Bible et qui les conduisent à des énormités. Sur ce document fétiche sur lequel il est sans doute impssible d’émettre le moindre doute à passer pour un mauvais Américain, Michael Klarman, professeur de droit à Harvard,  a fait une conférence à l’Université John Hopkins ou il émet des réserves et décrit ce qu’il appelle aujourd’hui la « constitutional idolatry » qui caractérise en partie les promoteurs du Tea Party. Il a publié un texte intitulé intitulé A Skeptical View of Constitution Workship qui fait la synthèse.

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Quand Bill O’Reilly interview Jon Stewart

Quand un vicomte, rencontre un aut' vicomte, Qu'est-ce qu'ils s'racontent ? Des histoir's de vicomtes. Quand un gendarme, rencontre un aut' gendarme Qu'est-ce qui les charme, Qu'les histoir's de gendarmes (…) Quand un bouffon confond un autre bouffon Qu’est-ce qu’il s’répond, des histoir’s de bouffons Eh bien non, c’est  plutôt une discussion assez sérieuse où Bill O’Reilly essaye de faire dire à…

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Réduire les dépenses militaires ?

« A quoi sert la puissance militaire américaine ? » s’interrogeait à haute voix Thierry de Montbrial, directeur de l’IFRI, lors de la présentation de l’édition 2011 du Ramses sous-titré « un monde post américain ». Parfois poser la question, c’est déjà donner la réponse. De fait, le budget militaire américain représente 48 % des dépenses mondiales ou près de « 5 fois les budgets chinois et russe réunis » (Dépenses militaires : la continuité dans la continuité). Et sur ce point, Barack Obama ne semble pas remettre en cause cette spécificité américaine. D’ailleurs, s’il le faisait, les Républicains et une bonne partie des indépendants et sans doute le complexe militaro-industriel n’hésiteraient à le qualifier de colombe, voire de « traitre » à sa patrie. D’autant que la puissance militaire est peut-être pour les Américains de manière inconsciente un des derniers domaines où le leadership des États-Unis est total. De fait, à quoi sert cette puissance si l’on observe les enlisements successifs au Vietnam, en Afghanistan, en Irak… Dans ces différentes situations, cette supériorité n’a pas servi à grand-chose. Souvenons qu’à sa plus grande intensité, l’armée américaine avait envoyé 550 000 militaires sur le terrain largement mieux doté que son adversaire. Et pourtant, dit de manière abrupte, mais réelle, cela n’a pas empêché aux États-Unis de perdre la guerre.

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