En 1962, dans la lutte acharnée avec l’URSS dans la conquête Spatiale, John Kennedy avait lancé un défi en affirmant que les Etats-Unis poseraient des hommes sur la Lune avant la fin de la décennie. Les Etats-Unis avaient connu quelques revers et, en pleine guerre froide, l’URSS avait remporté quelques points marquants. Le lancement de Sputnik en 1957 sonna comme un coup de tonnerre aux Etats-Unis dans la communauté scientifique. Le 12 avril 1961, l’URSS enfonce le clou en envoyant Youri Gagarine qui sera ainsi le premier homme dans l’espace. Moins d’un mois plus tard, le 5 mai 1961, Alan Shepard deviendra le premier Américain dans l’espace.
John Kennedy gagna son pari, même s’il ne pu pas en voir le résultat. Le 21 juillet 1969, il y a donc plus de 40 ans, Neil Amstrong posa le pied sur l’astre le plus proche de la Terre et déclara la formule restée dans l’histoire : « c’est un petit pas pour l’homme, mais un grand pas pour l’Humanité ».
En 1962, dans la lutte acharnée avec l’URSS dans la conquête Spatiale, John Kennedy avait lancé un défi en affirmant que les Etats-Unis poseraient des hommes sur la Lune avant la fin de la décennie. Les Etats-Unis avaient connu quelques revers et, en pleine guerre froide, l’URSS avait remporté quelques points marquants. Le lancement de Sputnik en 1957 sonna comme un coup de tonnerre aux Etats-Unis dans la communauté scientifique. Le 12 avril 1961, l’URSS enfonce le clou en envoyant Youri Gagarine qui sera ainsi le premier homme dans l’espace. Moins d’un mois plus tard, le 5 mai 1961, Alan Shepard deviendra le premier Américain dans l’espace.
John Kennedy gagna son pari, même s’il ne pu pas en voir le résultat. Le 21 juillet 1969, il y a donc plus de 40 ans, Neil Amstrong posa le pied sur l’astre le plus proche de la Terre et déclara la formule restée dans l’histoire : « c’est un petit pas pour l’homme, mais un grand pas pour l’Humanité ».
Aujourd’hui, dans le cadre de la préparation budgétaire et face aux déficits abyssaux auxquels le gouvernement américain est confronté, Barack Obama a supprimé différents programmes parmi lequel le très emblématique projet Constellation qui visait à renvoyer des hommes sur la Lune avant 2020. Sur le plan symbolique, la décision est assez forte. Sur le plan purement scientifique, elle l’est sans doute moins. Quel est le résultat des retombées scientifiques de l’envoi des 12 hommes sur la Lune avant 1972 ? Quelle est l’utilité dans envoyer à nouveau alors que mêmes les militaires font appel à des drones au lieu d’envoyer des hommes sur le front ?
Aujourd’hui, dans le cadre de la préparation budgétaire et face aux déficits abyssaux auxquels le gouvernement américain est confronté, Barack Obama a supprimé différents programmes parmi lequel le très emblématique projet Constellation qui visait à renvoyer des hommes sur la Lune avant 2020. Sur le plan symbolique, la décision est assez forte. Sur le plan purement scientifique, elle l’est sans doute moins. Quel est le résultat des retombées scientifiques de l’envoi des 12 hommes sur la Lune avant 1972 ? Quelle est l’utilité dans envoyer à nouveau alors que mêmes les militaires font appel à des drones au lieu d’envoyer des hommes sur le front ?